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De ce trou noir duquel naquit Chris Ware, de L.L. de Mars
Carlota, de J.-M. Bourthan & Estelle Riley
Ténèbres, de Guillaume Soulatges
Romance, de Kerozen
Errata, de Thomas Gosselin
Danses d'intérieur, de Lotus Eddé Khouri
Cartographies, Chloé Vanderstraeten
À partir de n°5 — collectif
Le Dépli, Loïc Largier
Un possible récit, Jean-Pierre Marquet
Fausse Maîtresse, C. de Trogoff
Bandelettes, François Henninger
Commentaire sur les sentences de Pierre Lombard, L.L. de Mars
L'Enfant naturel, Guillaume Soulatges
À partir de n°4, Collectif
Far West, Barthélémy Schwartz
Instructions en cas d'urgence, J. & E. LeGlatin
À partir de n°3, Collectif
L.L. de Mars, Bandes dessinées exposées
Jérôme LeGlatin, Le Crash
A. Balcaen & J. LeGlatin, Éditer (modestement) ...
Jul Gordon, De tels baisers
Rosaire Appel, Soundtrack/s
Gary Colin, Il était deux fois
Démoniak, Eros negro n°4
Démoniak, Eros negro n°3
J.-M. Bertoyas, Pêchez jeunesse !
Collectif, À partir de n°2
L.L. de Mars, Critique & création
Démoniak, Eros negro n°2
C. de Trogoff, Hmm !
Jean-Luc Guionnet, Plafond de verre
Robert Varlez, 9 octobre 1977
Rosaire Appel, Perturbations
Collectif, À partir de n°1
Guillaume Chailleux, Filer
L.L. de Mars, Exposer la bande dessinée?
Démoniak, Eros negro (jouer avec le feu)
Fanny Larpin, En el dolor de la noche
J.-M. Bertoyas, L'Internationale modique
L.L. de Mars, BD et grand public
Robert Varlez, 1968
Noémie Lothe, Imagos
Collectif (50 auteurs), De tout bois
J.-M. Bertoyas, L'Arum tacheté
J. & E. LeGlatin, Polyphème
R. Grandpey, Comment dresser un cheval
Rosaire Appel, Intersections
Loïc Largier, Obscurcité
Jean-Pierre Marquet, Déséblouir
L.L. de Mars, Communes du livre
Collectif, Idiomes & idiots
Michel Vachey, Trous gris
Judith Mall, Beyond halfway beach
Loïc Largier, Des Combats
Robert Varlez, Suit(es)
Françoise Rojare, Mnémopolis
C. de Trogoff, L’Arbre de la connaissance
Yan Cong, Inspiration
Guillaume Chailleux, Fils
L.L. de Mars, Jack Kirby ...
Alexandre Balcaen, Manifeste

Eros negro n°2


Démoniak, Eros negro n°2

32 pages n&b
12 x 17 cm
5 €
Sortie février 2020
ISBN : 979-10-95922-32-2

Résumé de l’épisode précédent :

Derrière les volets clos d’une maison délabrée, à l’abri des regards, Nelson bafoue les interdits, entreprenant l’émancipation de la belle Françoise, fille de l’illustre famille Mandoras. Débordés par l’intensité de leurs ébats, nos deux protagonistes en viennent à oublier la plus élémentaire discrétion. Attiré par leurs cris affriolants, un mystérieux individu les observe, l’œil accolé à l’entrebaillement d’une porte mal fermée...

Initialement envisagé comme un opuscule autonome, Eros negro devient, avec la publication d’un deuxième épisode, une reprise de l’intégralité du 12e numéro de ce fumetti emblématique des années 1980, découpé ici en 4 volumes.

Si Démoniak radicalise ici son projet critique, transgressant le rapport de domination homme noir / homme blanc de la bande originale, ce 2e épisode ne trahit en rien les ambitions populaires et masturbatoires du canevas dont il est issu.

Le dessin s’y aiguise, transfigurant les compositions audacieuses de la bande d’origine, tandis que le scénario alambiqué nous réserve encore nombre de surprises immorales pour les deux numéros qui viendront clore l’intrigant feuilleton.

Eros negro n°2


Démoniak, Eros negro n°2

32 pages n&b
12 x 17 cm
5 €
Sortie février 2020
ISBN : 979-10-95922-32-2

Résumé de l’épisode précédent :

Derrière les volets clos d’une maison délabrée, à l’abri des regards, Nelson bafoue les interdits, entreprenant l’émancipation de la belle Françoise, fille de l’illustre famille Mandoras. Débordés par l’intensité de leurs ébats, nos deux protagonistes en viennent à oublier la plus élémentaire discrétion. Attiré par leurs cris affriolants, un mystérieux individu les observe, l’œil accolé à l’entrebaillement d’une porte mal fermée...

Initialement envisagé comme un opuscule autonome, Eros negro devient, avec la publication d’un deuxième épisode, une reprise de l’intégralité du 12e numéro de ce fumetti emblématique des années 1980, découpé ici en 4 volumes.

Si Démoniak radicalise ici son projet critique, transgressant le rapport de domination homme noir / homme blanc de la bande originale, ce 2e épisode ne trahit en rien les ambitions populaires et masturbatoires du canevas dont il est issu.

Le dessin s’y aiguise, transfigurant les compositions audacieuses de la bande d’origine, tandis que le scénario alambiqué nous réserve encore nombre de surprises immorales pour les deux numéros qui viendront clore l’intrigant feuilleton.